BOLIVIE

Celui-là, on le connaissait un peu avec Sandrina : Christine y ayant vécu quelques années, nous avions fait un voyage en famille pour aller la voir et rencontrer sa belle famille. Nina, 18 mois, était de la partie. Nous avions eu le temps de voir une partie du pays mais pas le Salar ni le Sud Lipez, à la frontière chilienne. Et comme pour le Canada, adolescent, je bavais sur les photos de ces paysages dans les magazines de voyage. Le Salar est donc une étape obligée (encore une) du voyage. Avec en point de mire, les fameuses photos de perspective dans ce désert. Ensuite, j’avais plein d’envie, notamment la route des missions, puis des excursions dans le Pantanal (Anne C., tu te rappelles de nos discussions ?) énorme marais amazonien s’étendant au Brésil, mais l’accès laborieux pour se retrouver au milieu de nulle part avec 3 enfants m’avait un peu refroidi. Donc, le Salar et le Sud Lipez seraient les seuls objectifs de cette étape.

Les coups de cœur :
-      - le Salar, qui nous a comblé, et la laguna Cañapa, une très belle surprise ; pour la petite histoire, l’altitude et le rythme du voyage au Pérou nous avait pas mal fatigué, au point de se poser sérieusement la question de maintenir cette étape. Lélé nous a tout de même convaincu de maintenir le cap, même si ça devait représenter une étape pas évidente. Finalement, les voyages en bus se sont bien passés, l’altitude n’était plus trop un problème (on a même fait un chat dans le Salar…), il n’a pas fait froid, on aurait été bête de pas le faire.
-      - louer un chouette appart’ à La Paz, juste à côté de la maison où vivait ma sœur à La Paz, où nous nous sommes reposés de notre rythme effréné du Pérou ;
-      - le téléphérique de Nuestra Señora de La Paz, qui offre une vue saisissante de La Paz, mais qui a surtout dû révolutionner la vie des pacéniens, tant il n’est pas cher, et donc accessible à tous.
-      - le resto La Comédie ; en + d’être trop miam miam, un véritable parfum de France qui nous a fait du bien.

Les regrets :
-      - le Sud Lipez. Ahhh, j’aurais adoré voir ses paysages, je pense même qu’on aurait pu l’intégrer dans notre tour en 4x4. Une nuit et une journée de plus et c’était joué. Mais comme dit dans l’article sur le Salar, on aurait du dormir à 4300 m et il aurait fallu se lever à 4h du mat pour enchaîner sur une journée complète de 4x4 sur une piste cahoteuse, avec peu d’arrêts. Les enfants, eux ne regrettent pas.
-      - pas tout à fait un regret, disons une tristesse lorsque nos copains sont partis. Ça a ait bizarre de se retrouver à 5 à nouveau.

Les trucs pas cool :
 - la reprise des devoirs (du moins de façon sérieuse et quotidienne), difficile pour tout le monde…

et la compile des moments forts, sur un titre de Nacion Ekeko, encore, mais de circonstance (titre qui tourne en boucle dans notre voiture de loc en NZ). 


2 commentaires:

  1. Trop bien la chanson c'est marrant parce que Manco capac c'est l'inspiration pour Manko le resto péruvien qu'on est en train d'ouvrir dans le 8e. On est toujours connectés sans le faire exprès incroyable :-)... Enfin surtout vos photos sont magnifiques et elles nous font bien plaisir !.. Gros bisous Et bon voyage !

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  2. Il nous aurait fallu 1 semaine de plus, et on aurait pu faire rentrer le Salar dans le programme.... Quand je vois les photos prises, ouave, ouf que vous l'avez fait !!!!
    Visiblement Aurore va ouvrir un Resto péruvien sur Paris ! A votre retour, on se le fera car la soupe au quinoa et au poulet me manque ! J'en salive rien que d'y penser !!!!! Ta soupe aussi me manque Mathieu !!!!

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